Équivalent français : transport de retour (Québec), retour en charge –
Source : APFA
Équivalent français : transport de retour (Québec), retour en charge –
Source : APFA
Équivalent français : logiciel orphelin –
Source : APFA
Équivalent français : aménagement musical n.m. – utilisation de musiques d’ambiance différentes selon les rayons ou les espaces d’un magasin.
Sous-domaine : /Internet
Équivalent français : réseau d’ordinateurs zombies n.m. – réseau d’ordinateurs, contrôlés à distance par des pirates, à l’insu de leurs propriétaires, et utilisés pour des envois abusifs de publicités (arrosage publicitaire) ou pour attaquer anonymement un site ou un serveur.
Sous-domaine : /Internet
Équivalent français : réseau d’ordinateurs zombies n.m. – réseau d’ordinateurs, contrôlés à distance par des pirates, à l’insu de leurs propriétaires, et utilisés pour des envois abusifs de publicités (arrosage publicitaire) ou pour attaquer anonymement un site ou un serveur.
Équivalent français : méthode Atouts et Risques n.f. – outil de diagnostic pour identifier les points forts et les points faibles d’une organisation.
Équivalent français : centre d’appels sur la Toile n.m. – service permettant d’accéder au centre d’appels (voir ce terme) d’une entreprise par l’intermédiaire de son site sur la Toile.
Équivalent français : centre d’appels sur la Toile n.m. – service permettant d’accéder au centre d’appels (voir ce terme) d’une entreprise par l’intermédiaire de son site sur la Toile.
Sous-domaine : /Internet
Équivalent français : cybervendeur-patineur n.f. – vendeur évoluant sur patins à roulettes dans un grand magasin, chargé de vendre en direct sur l’internet grâce à l’utilisation d’une caméra permettant la présentation de la marchandise sur l’écran du client.
Équivalent français : État-providence – conception de l’État dont l’une des missions consiste en la prise en charge, très complète et fondée sur une solidarité entre les catégories sociales, de divers risques sociaux (maladie, indigence, retrait d’activité, chômage…). Cette expression est apparue après la Première Guerre mondiale au Royaume-Uni, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans les pays scandinaves.