COUPE FRANCOPHONE DU VOCABULAIRE DES AFFAIRES 2024

Coupe proposée au grand public

LA DICTÉE DES MOTS D'OR



SEMAINE DE LA LANGUE FRANÇAISE ET DE LA FRANCOPHONIE

Samedi 23 mars 2024

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Les organisateurs de la Coupe "LE MOT D'OR" vous remercient et vous félicitent d'affirmer, par votre participation, votre volonté d'entreprendre marquée par le souci d'une bonne maîtrise du vocabulaire français des affaires.

SUJET
(le corrigé est donné en vert)

Le sujet comporte trois parties. Les réponses doivent être portées sur le sujet lui-même qui sera remis aux organisateurs en fin d'épreuve.

1. Début du conte terminologique : recherche des néologismes.

Soulignez, dans le texte suivant, les néologismes (termes, c’est-à-dire mots ou groupes de mots, nouveaux et termes anciens employés dans un sens nouveau) qui vous paraissent relever du français des affaires (mercatique et action commerciale, commerce (d'articles de sport par exemple), hôtellerie-tourisme, gestion, économie d’entreprise, économie générale, informatique et Internet, etc.) et plus généralement tous les termes qui sont malheureusement souvent remplacés par des anglicismes.

Le directeur général avait fait préparer un dossier de presse et organisé, accompagné de son groupe de conseillers, un point de presse pour faire le point sur les projets de l’entreprise.

Suzanne renonça au coquetel qui suivit car il n'y avait pas de boissons sans alcool et parce qu’elle avait horreur des amuse-gueules et du grignotage. Elle échappa ainsi au laïus du patron et aux discussions des cadres de direction. Elle chercha un restaurant rapide en libre-service ou un grill. Ils étaient tous fermés. Elle dut se préparer des grillades mélangées et un lait frappé dans sa cuisinette avant de monter dans sa voiture, qu’elle avait prise en location avec option d’achat, pour un voyage de motivation à Londres offert par sa société. Elle fit le plein de gazole dans un centre automobile avant de prendre un navire transbordeur pour traverser la Manche. Elle s’occupa en faisant du lèche-vitrines dans la boutique hors-taxes du transbordeur.

Après le débarquement, elle échangea quelques chèques de voyage dans une banque au volant. Elle entra dans une galerie marchande où se pratiquaient des animations commerciales et de la promotion par les odeurs. Le lèche-vitrines récréatif ne lui déplaisait pas. Elle se laissa séduire par un article présenté comme une excellente affaire, tout compris, avec l’accroche « premier acheté, deuxième offert ». Mais en bonne mercaticienne, elle ne put s’empêcher d’évaluer le marchandisage et notamment l’utilisation des frontales, des emplacements promotionnels, des prix en trompe-l’œil et des conditionnements de toutes sortes : habillages transparents, emballages groupés, emballages à poignée et autres enveloppes pelliplaquées.

À Londres, elle devait assister à trois conférences dans une école des affaires : une sur le bouche à oreille, une autre sur le franchisage et la troisième sur les coentreprises.

Suzanne se sentait physiquement en pleine forme et pratiquait souvent la journée continue. Son emploi du temps était toujours bien rempli. Elle avait tiré profit de son expérience de femme qui ne devait sa réussite qu’à elle-même en écrivant un roman autobiographique. Elle en avait fait une nouvelle version en anglais et en avait cédé le droit de reproduction à un éditeur londonien. Elle en avait assuré elle-même la réécriture.

Elle rêvait d’être travailleuse indépendante et rencontra le responsable d’un incubateur d’entreprises qui s’occupait d’héberger, d’accompagner et de stimuler les jeunes pousses, voire de les mettre en contact avec un investisseur providentiel susceptible de fournir le capital d’amorçage et l’aide financière au démarrage nécessaires, car l’argent du cœur familial est rarement suffisant, et d’aider à élaborer un plan de développement.
Le directeur général avait fait préparer un dossier de presse et organisé, accompagné de son groupe de conseillers, un point de presse pour faire le point sur les projets de l’entreprise.

Suzanne renonça au coquetel qui suivit car il n'y avait pas de boissons sans alcool et parce qu’elle avait horreur des amuse-gueules et du grignotage. Elle échappa ainsi au laïus du patron et aux discussions des cadres de direction. Elle chercha un restaurant rapide en libre-service ou un grill. Ils étaient tous fermés. Elle dut se préparer des grillades mélangées et un lait frappé dans sa cuisinette avant de monter dans sa voiture, qu’elle avait prise en location avec option d’achat, pour un voyage de motivation à Londres offert par sa société. Elle fit le plein de gazole dans un centre automobile avant de prendre un navire transbordeur pour traverser la Manche. Elle s’occupa en faisant du lèche-vitrines dans la boutique hors-taxes du transbordeur.

Après le débarquement, elle échangea quelques chèques de voyage dans une banque au volant. Elle entra dans une galerie marchande où se pratiquaient des animations commerciales et de la promotion par les odeurs. Le lèche-vitrines récréatif ne lui déplaisait pas. Elle se laissa séduire par un article présenté comme une excellente affaire, tout compris, avec l’accroche « premier acheté, deuxième offert ». Mais en bonne mercaticienne, elle ne put s’empêcher d’évaluer le marchandisage et notamment l’utilisation des frontales, des emplacements promotionnels, des prix en trompe-l’œil et des conditionnements de toutes sortes : habillages transparents, emballages groupés, emballages à poignée et autres enveloppes pelliplaquées.

À Londres, elle devait assister à trois conférences dans une école des affaires : une sur le bouche à oreille, une autre sur le franchisage et la troisième sur les coentreprises.

Suzanne se sentait physiquement en pleine forme et pratiquait souvent la journée continue. Son emploi du temps était toujours bien rempli. Elle avait tiré profit de son expérience de femme qui ne devait sa réussite qu’à elle-même en écrivant un roman autobiographique. Elle en avait fait une nouvelle version en anglais et en avait cédé le droit de reproduction à un éditeur londonien. Elle en avait assuré elle-même la réécriture.

Elle rêvait d’être travailleuse indépendant et rencontra le responsable d’un incubateur d’entreprises qui s’occupait d’héberger, d’accompagner et de stimuler les jeunes pousses, voire de les mettre en contact avec un investisseur providentiel susceptible de fournir le capital d’amorçage et l’aide financière au démarrage nécessaires, car l’argent du cœur familial est rarement suffisant, et d’aider à élaborer un plan de développement.

2. Suite et fin du conte terminologique : LA DICTÉE DES MOTS D’OR.

Texte de la dictée :

Suzanne et le responsable de la pépinière d’entreprises se sont vus et parlé longuement au sujet du fonds d’amorçage dont l’obtention ne va pas de soi.

Le soir, bien qu’elle se sentît un peu enchifrenée, elle décida de faire bonne chère. Elle entra dans un restaurant à l’allure un peu désuète. Les murs de l’entrée étaient revêtus de tentures surannées orange et bleues et deux psychés démodées encadraient le passage. Elle y croisa deux dames très chics, en robe habillée, et reconnut les soi-disant mercaticiennes qui avaient donné la conférence sur les coentreprises.

La salle à manger était plus pimpante et bénéficiait d’une ambiance sonore feutrée. Elle s’installa dans un fauteuil à capitons. Quoiqu’elle fût très soucieuse de diététique et quoi qu’elle en pensât, elle choisit de faire fi de ses préventions et chercha dans le menu au moins un mets insolite, bien décidée à faire de ce repas inaccoutumé un évènement cosmopolite mémorable.

Une serveuse, jolie métisse aux cheveux anthracite et aux yeux marron, vint l’aider dans sa recherche. Elle avait un accent prononcé. Fallait-il qu’elle lui avouât qu’elle ne la comprenait pas ? Elle craignit de la peiner et commanda un peu au hasard des escamoles mexicaines, une chiffonnade de jambon ibérique, de la panse de brebis farcie écossaise, une gelée chinoise de fleurs d’osmanthe et un cappuccino italien.



Liste et définitions des termes utilisés dans le conte terminologique pour éviter les anglicismes :

Ces termes sont en majorité extraits des lexiques figurant sur le site historique de l’APFA (http://www.apfa.asso.fr/historique). Ces lexiques donnent les équivalents français de plus de 8000 anglicismes et près de 4000 définitions (la plupart officielles) de termes relevant du français des affaires.

Directeur général (économie d’entreprise) : salarié qui occupe le rang le plus élevé dans la direction d'une entreprise ; le directeur général est nommé par le conseil d'administration ou le directoire de la société).

Dossier de presse (communication) : groupe de documents : communiqués, notes explicatives, photos, documents publicitaires, etc. insérés dans une pochette et destinés à renseigner les journalistes sur un sujet donné.

Groupe de conseillers (économie d’entreprise) : petit groupe d'experts et de techniciens qui assiste un décideur.

Point de presse (communication) : séance d'information destinée aux journalistes pour faire le point sur un sujet ou une situation.

Faire le point (divers) : regrouper, par ordre logique ou chronologique, dans un but de synthèse, les divers éléments d'information concernant un sujet important d'actualité.

Coquetel (restauration) : réunion avec buffet.

Boisson non alcoolisée (restauration) : boisson sans alcool.

Amuse-gueule (restauration) : petit sandwich, biscuit salé, etc. servi avec l’apéritif ou au cours d'une réception.

Grignotage (restauration) : fait de manger très peu, du bout des dents ; mais aussi prise d’aliments en dehors des repas.

Laïus (communication) : petite allocution de circonstance.

Patron (économie d’entreprise) : dirigeant d’une entreprise, employeur ou chef par rapport à ses subordonnés.

Cadre de direction (économie d’entreprise) : professionnel qui se voit confier la gestion et la direction d'une partie ou de toute une activité.

Restauration rapide (restauration) : système de restauration rapide à bon marché, à service et assortiment limités, qui permet de consommer sur place ou ailleurs.

Grill (restauration) : restaurant où on mange essentiellement des grillades.

grillades mélangées (restauration) : tranches variées de viande et de poisson cuites au grill.

Lait frappé (restauration) : boisson refroidie, aromatisée, à base de lait.

Cuisinette (restauration) : petite cuisine, coin cuisine.

Location avec option d’achat (banque) : technique par laquelle un établissement de crédit donne en location à un preneur (pour un usage non professionnel) un bien acheté à cet effet, en vertu d'un contrat à l'issue
duquel celui-ci peut, pour un prix convenu, devenir propriétaire de ce bien en levant l'option d'achat initialement stipulée à son profit.

Voyage de motivation (économie d’entreprise) : voyage de récompense offert par une entreprise pour stimuler un salarié.

Gazole (produits pétroliers) : carburant pour moteur diesel.

Centre automobile (commerce) : centre qui offre à la vente tout ce qui a rapport à l'automobile.

Transbordeur (transports) : bateau servant au transport des passagers et de leur voiture.

La Manche (géographie) : mer qui sépare la France du Royaume-Uni.

Lèche-vitrine(s) (mercatique) : promenade à la découverte dans les magasins ou devant leurs vitrines pour repérer ou acheter des objets.

Boutique hors-taxes (commerce) : boutique où sont proposées à la vente des marchandises qui ne sont pas soumises au paiement de taxes.

Transbordeur (transports) : bateau servant au transport des passagers et de leur voiture.

Chèque de voyage (banque) : chèque préimprimé, libellé en euros ou dans une autre monnaie, d'un montant arrondi, et permettant au porteur d'être protégé contre les risques de vol.

Banque au volant (banque) : guichet de banque aménagé de manière à permettre aux clients d'être servis sans quitter leur voiture.

Galerie marchande (commerce) : espace piétonnier couvert, à fonction commerciale dominante.

Animations commerciales (mercatique) : animations et mise en scène commerciales.

Promotion commerciale par les odeurs (mercatique) : mise à contribution du sens olfactif du consommateur pour entraîner une réaction au contact d’une marque (création d’une identité olfactive de la marque).

Lèche-vitrine(s) récréatif (mercatique) : lèche-vitrine(s) effectué dans un climat de détente et de loisirs.

Excellente affaire (mercatique) : achat présenté comme le plus avantageux.

Tout compris (mercatique) : mention indiquant que le prix est net, sans supplément d’aucune sorte.

Accroche (mercatique) : partie d'une annonce publicitaire attirant l'attention.

Un acheté, le deuxième gratuit (mercatique) : si on achète deux articles identiques, on n’en paie qu’un.

Mercaticienne (ou mercaticien) (mercatique) : spécialiste de la mercatique, ensemble des techniques et des actions grâce auxquelles une entreprise développe méthodiquement la vente de ses produits et de ses services en adaptant son offre aux besoins et au comportement du consommateur.

Marchandisage (mercatique) : ensemble des méthodes et techniques ayant trait à la présentation et à la mise en valeur des produits sur les lieux de vente.

Frontal (ou frontale) (mercatique) : surface visible, face au client, utilisée sur un rayonnage pour la présentation d'un produit.

Emplacement promotionnel (mercatique) : espace réservé, dans un magasin, à la promotion d'un type de produits.

Prix en trompe-l’œil (mercatique) : prix de vente d'un produit fixé juste au-dessous du prix arrondi.

Conditionnement (mercatique) : emballage destiné à assurer la protection, la conservation et le transport d'un produit, ou encore servant à le mettre en valeur.

Emballage transparent (mercatique) : emballage thermoformé, en partie transparent, qui protège le produit et en facilite la présentation et l'identification.

Emballage groupé (mercatique) : emballage contenant plusieurs articles.

Emballage à poignée (mercatique) : emballage muni d’une poignée de transport.

Enveloppe pelliplaquée (mercatique) : emballage, réalisé généralement dans une matière plastique transparente ou translucide, qui adhère étroitement au produit, le plus souvent par vide d'air.

École des affaires (enseignement) : (école où sont enseignées les théories et les techniques du commerce et de la gestion.

Bouche-à-oreille (mercatique) : technique mercatique fondée sur l'exploitation des messages circulant entre les consommateurs.

Franchisage (commerce) : fait pour une entreprise de concéder à des entreprises indépendantes, en contrepartie d'une redevance, le droit de se présenter sous sa raison sociale et sa marque pour vendre des produits ou services.

Coentreprise (économie d’entreprise) : projet économique élaboré par une association d'entreprises constituée selon des modalités diverses et permettant en général de bénéficier des synergies des entreprises associées.

En pleine forme (santé) : en excellente condition physique.

Journée continue (divers) : journée de travail sans interruption.

Emploi du temps (divers) : répartition dans le temps de tâches à effectuer, suite minutée des activités prévues.

Expérience professionnelle (formation) : expérience acquise au cours de l'exercice d'une profession.

Femme qui ne doit sa réussite qu’à elle-même (formation) : femme qui s'est instruite et formée elle-même, en dehors de toute institution de formation et qui a réussi à s’imposer professionnellement.

Nouvelle version (édition) : nouvelle version d’une œuvre littéraire.

droit de reproduction (édition) : droit exclusif que détient un auteur ou son représentant d'exploiter pendant une durée déterminée une œuvre littéraire ou artistique.

Réécriture (édition) : action de récrire, de mettre en forme un texte destiné à être publié.

Travailleuse indépendante (économie d’entreprise) : personne indépendante professionnellement, qui n'a pas de contrat de travail avec un employeur), qui est à son compte.

Incubateur d’entreprises (économie d’entreprise) : structure d'accompagnement de projets de création d'entreprises. L'incubateur peut apporter un appui en termes d'hébergement, de conseil et de financement, lors des premières étapes de la vie de l'entreprise. À la différence d'une pépinière d'entreprises ou d'un hôtel d'entreprises, un incubateur s'adresse à des sociétés très jeunes ou encore en création.

Accompagner (divers) : mentorer, améliorer les compétences et la réussite professionnelle d'une personne ou d’une équipe.

Stimuler (divers) : dynamiser (relancer, donner de l’élan, doper, encourager, renforcer, etc).

Jeune pousse (économie d’entreprise) : jeune entreprise innovante et dynamique, à croissance rapide. Les jeunes pousses se rencontrent en particulier dans les secteurs de pointe tels que la biotechnique et les techniques d'information.

Investisseur providentiel (économie d’entreprise) : investisseur privé qui apporte capital et savoir-faire à de jeunes entreprises innovantes sans rechercher de rendement immédiat, dans une perspective de succès à terme.

Capital (ou fonds) d’amorçage (économie d’entreprise) : fonds alloués, le plus souvent par des investisseurs providentiels au lancement d'un projet pour permettre la prospection de marchés et le développement de produits ou de services.

Aide financière au démarrage (économie d’entreprise) : somme versée à une entreprise récemment créée, par l'État, une collectivité locale, une banque ou un investisseur providentiel, afin de soutenir ses débuts.

Argent du cœur (économie d’entreprise) : soutien financier apporté pour des raisons affectives ou familiales.

Plan de développement (économie d’entreprise) : dossier présentant un projet chiffré de création ou de développement d'entreprise.


Voici ce que donnerait le conte terminologique en franglais :

Le general manager avait fait préparer un press kit et organisé, accompagné de son brain trust, un press briefing pour faire un round up sur les projets de l’entreprise.

Suzanne renonça au cocktail qui suivit car il n'y avait pas de soft drinks et parce qu’elle avait horreur des snacks et du snacking. Elle échappa ainsi au speech du boss et aux discussions des executive men. Elle chercha un fast food en self-service ou un grill room. Ils étaient tous fermés. Elle dut se préparer des mixed grills et un milk shake dans sa kitchenette avant de monter dans sa voiture, qu’elle avait prise en leasing, pour un incentive tour à Londres offert par sa société. Elle fit le le plein de gasoil dans un auto center avant de prendre un car ferry pour traverser le Channel. Elle s’occupa en faisant du shopping dans le duty-free shop du ferry boat.

Après le débarquement, elle échangea quelques traveller's checks dans une drive-in bank. Elle entra dans un shopping mall où se pratiquaient du retailtainment et du marketing olfactif. Le fun shopping ne lui déplaisait pas. Elle se laissa séduire par un article présenté comme un best buy, all-inclusive, avec le catching « buy one, get one free  ». Mais en bonne marketing expert, elle ne put s’empêcher d’évaluer le merchandising et notamment l’utilisation des facings, des corners, des odd prices et des packagings de toutes sortes : blisters, composite packages, handy packs et autres skin packs.

À Londres, elle devait assister à trois conférences dans une business school : une sur le buzz marketing, une autre sur le franchising et la troisième sur les joint ventures.

Suzanne se sentait physiquement au top niveau et pratiquait souvent la journée non-stop. Son timing était toujours bien rempli. Elle avait tiré profit de son background de self-made woman en écrivant un roman autobiographique. Elle en avait fait un remake en anglais et en avait cédé le copyright à un éditeur londonien. Elle en avait assuré elle-même le rewriting.

Elle rêvait d’être freelance et rencontra le responsable d’un business incubator qui s’occupait d’héberger, de coacher et de booster les start up, voire de les mettre en contact avec un business angel susceptible de fournir le seed money et l’early-stage financing nécessaires, car le love money familial est rarement suffisant, et d’aider à élaborer un business plan.



3. Participez à l’opération "Dis-moi dix mots" qui invite chacun à jouer et à s’exprimer autour de dix mots sous une forme littéraire ou artistique. L’édition de cette année est « Dis-moi dix mots sur le podium ». Elle nous invite à nous approprier le vocabulaire du sport et de l’olympisme.

Voici ces dix mots : adrénaline, aller aux oranges, champion, collectif, échappée, faux-départ, hors-jeu, prouesse, mental et s’encorder.

Illustrez (par un court texte, un dessin ou les deux) un (ou plusieurs) de ces mots, ou, si vous préférez, un des néologismes que vous avez repérés dans la début du conte terminologique. Donnez libre cours à votre créativité.

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