CONCLUSION DE LA PREMIÈRE PARTIE

Pour être efficace, une action commerciale doit être d'abord porteuse d'enthousiasme et de rigueur dans sa langue.

Le débat organisé à la fin de la première partie fut ponctué de riches interventions.

Relevons celle de Stélio FARANDJIS, Secrétaire général du Haut Conseil de la Francophonie, qui insista sur l’exigence de rigueur dans la langue "condition et conséquence du progrès" selon CONDORCET, et sur le fait que les mots n’ayant que des emplois et non pas de sens absolu, on ne peut pas séparer l’économie de la langue.

À l’interrogation : "Faut-il une langue universelle ?", il répondit par cette citation de Léopold Sédar SENGHOR : "Il ne faut pas confondre la civilisation de l’universel avec la civilisation de l’uniforme".

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