Présentation du Mot d’Or

PRÉSENTATION

« LE MOT D’OR » est placé sous le patronage :

de l’Organisation Internationale de la Francophonie,
du Ministère de l’Économie et des Finances,
du Ministère l’Éducation nationale,
du Ministère de la Culture (Délégation générale à la langue française et aux langues de France),
du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères,
de l’Agence Universitaire de la Francophonie,
du Gouvernement du Québec (Office québécois de la langue française),
de l’Université Senghor d’Alexandrie,
du Conseil pédagogique interdisciplinaire du Québec,
de l’Institut français du Liban,
de l’Institut français du Sénégal,
de l’Alliance Française,
de l’Alliance Champlain,
de l’Alliance Internationale.

« LE MOT D’OR » bénéficie du parrainage :

du Dictionnaire des Éditions Larousse,
d’Alternatives économiques,
d’Économie et management,
des Éditions Foucher,
de CAMIF Collectivités,
de la MAIF,
de l’Institut Géographique National (IGN),
de l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE),
d’Air France,
de la Société Française des Traducteurs (SFT),
de la Société française de terminologie,
de la Fédération des entreprises du Commerce et de la Distribution (FCD),
de Radio DX Club d’Auvergne et Francophonie,
d’Air Tahiti Nui.
« LE MOT D’OR » a réuni, depuis sa création, dans la catégorie élèves et étudiants, plus de 500 000 candidats dans 42 pays et honoré plus de 60 000 lauréats dans plusieurs centaines de cérémonies officielles.

Né en 1988 pour les élèves et les étudiants, « LE MOT D’OR » regroupe la Coupe du français des affaires (pour les candidats francophones) et la Coupe du français des affaires et des langues partenaires (pour les candidats non francophones étudiant le français des affaires).

« LE MOT D’OR » est organisé par l’association « Actions pour promouvoir le français des affaires » (APFA), et, selon les catégories, les pays et les années, par le Conseil pédagogique interdisciplinaire du Québec, l’Alliance internationale, l’Alliance Champlain, les associations d’enseignants et de professeurs de français d’Arménie, du Brésil et de Russie, l’Inspection pédagogique régionale en économie et gestion, les Centres d’information et de communication du Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, l’École nationale des impôts (ENI), les Directions régionales des affaires culturelles, les Centres régionaux de documentation pédagogique, l’Alliance française, les Services de coopération et d’action culturelle.

LES RAISONS D’ÊTRE DU MOT D’OR

« LE MOT D’OR » a été créé :

– en hommage à la richesse d’initiative des professeurs, des élèves et des étudiants pour faire connaître et faire apprécier les mots d’aujourd’hui de l’économie et de la gestion, porteurs d’enthousiasme et de rigueur, source d’efficacité de toute action ;

– pour accompagner la recherche de l’excellence dans la maîtrise du vocabulaire des affaires par les professionnels dans la langue maternelle de chacun, condition de la création de relations durables, riches de la diversité des cultures ;

– pour développer une pédagogie du mot nouveau et du savoir entreprendre afin que tout échange et toute entreprise soient fondés sur des langues bien faites et que les mercaticiennes et les mercaticiens puissent être toujours plus à l’écoute attentive des autres.

LES MODALITÉS DU MOT D’OR

Les PROFESSIONNELS (entreprises industrielles et commerciales, presse audiovisuelle, presse écrite, édition, traduction, etc.) sont évalués à travers leurs actions.

Les ÉLÈVES et les ÉTUDIANTS participent, le mardi ou le jeudi de la semaine de la langue française et de la Francophonie, de 14 heures à 15 heures, à une épreuve individuelle d’une heure qui comprend trois niveaux (initiation, approfondissement, spécialisation) et dont les différentes parties sont indépendantes et adaptées :

– aux candidats des formations tertiaires en économie et gestion (pour lesquels le français est la langue maternelle),

– aux candidats en français des affaires (pour lesquels le français est une langue étrangère).

Le sujet proposé comporte quatre parties :

1) Pour les candidats des formations tertiaires en économie et gestion (pour lesquels le français est la langue maternelle) :

– Première partie : chercher des mots nouveaux pour des concepts nouveaux. Le candidat doit proposer, en justifiant ses propositions, un mot, un sigle ou une expression pour désigner en français des concepts nouveaux du domaine des affaires.

– Deuxième partie : donner un mot ou une expression de la langue des affaires dont la définition est fournie.

– Troisième partie : remplacer dans un texte des mots étrangers ou relevant du franglais par des équivalents français.

– Quatrième partie : savoir entreprendre en français. Le candidat doit présenter, en une dizaine de lignes, un projet réaliste de création d’entreprise (son propre projet ou un projet qui a été réalisé et auquel il aurait aimé participer).

2) Pour les candidats en français des affaires (pour lesquels le français est une langue étrangère), le sujet est modifié ainsi :

– pour la première partie, les propositions doivent être exprimées dans la langue maternelle du candidat ;

– pour la deuxième partie, les propositions doivent être exprimées en français et dans la langue maternelle du candidat ;

– pour la troisième partie, il s’agit de remplacer dans un texte des mots français par des équivalents dans la langue maternelle du candidat.

Le GRAND PUBLIC peut participer, le samedi de la semaine de la langue française et de la Francophonie, à la Coupe francophone du vocabulaire des affaires, épreuve du Mot d’Or de la francophonie pour tous, intitulée « La Dictée du Mot d’Or ».

Il s’agit moins d’une compétition de traduction ou d’orthographe que d’une action visant à permettre à chacun d’exprimer, par écrit, son goût et sa connaissance des mots justes dans le domaine de la vie économique quotidienne.

Cet exercice comprend trois parties assez brèves :

1. le début d’un petit conte terminologique contenant des termes relevant du français des affaires, dont quelques néologismes que les participants sont invités à repérer,

2. la dictée de la suite de ce conte,

3. l’illustration d’un ou de plusieurs (au choix) des dix mots de la Semaine de la langue française et de la Francophonie.

Il est possible de consulter les sujets des années précédentes.

Les brochures terminologiques du français des affaires, les DIPLÔMES du Mot d’Or et les prix (dictionnaires, ouvrages, cartes géographiques, objets) sont remis aux lauréats grâce au parrainage des Dictionnaires de référence Le Robert, des Éditions Belin, des Éditions Foucher, de CAMIF Collectivités, de la MAIF, de l’Institut géographique national (IGN) et de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE).

LES CRITÈRES D’ÉVALUATION

Le jury du MOT D’OR évalue, en priorité, selon la langue maternelle du candidat, la connaissance des listes terminologiques économiques et financières (économie générale, économie d’entreprise, mercatique, banque, marchés, droit, consommation, gestion) synthétisées sous la forme de deux accordéons et d’un livret de poche créés par l’APFA sous le patronage de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France et de l’Organisation internationale de la Francophonie :

« 2000 MOTS D’OR DU FRANÇAIS DES AFFAIRES »
« MOTS-CLÉS DES AFFAIRES EN 27 LANGUES »
« MOTS D’OR TRANSFRONTIÈRES DE LA FRANCOPHONIE »

LES SIGNES DE RECONNAISSANCE

– des médailles d’art « LE MOT D’OR », création d’Henri Chopin et de la Monnaie de Paris,

– des diplômes,

– des « DOMI… MOTS D’OR »,

– des séjours d’études à Paris et billets offerts par l’Organisation internationale de la Francophonie, le Conseil pédagogique interdisciplinaire du Québec, le Gouvernement de la Polynésie Française, la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, les Services de coopération et d’action culturelle, l’Alliance française, l’Alliance Champlain, Air France, Air Tahiti Nui pour assister à la Journée annuelle du français des affaires à Paris,

– des prix et des ouvrages (productions des partenaires du Mot d’Or et œuvres de lauréats du Mot d’Or), avec la participation des dictionnaires de référence Le Robert :

« La langue iaai » (D. Miroux – Alliance Champlain),
« Les mots de la francophonie » (L. Depecker – Éditions Belin),
« Un amour de Loire » (J. Lacarrière – Éditions Christian Pirot),
« Lexique de comptabilité » (P. Lassègue – Éditions Dalloz),
« Dictionnaire de mercatique » (Gilardi et Koehl – Éditions Foucher),
« Gérer l’entreprise » (collection A. Rossignol – Éditions Foucher),
« Testez vos connaissances en orthographe » (J.P. Colignon – Éditions Hatier),
« Cartes du monde politique » (IGN),
« Tableaux de l’économie française » et « Portrait social de la France » (INSEE),
« Manuel de gestion interculturelle » (J.M. Fèvre),
« Dictionnaire roumain de mercatique » (M. Dipse – Éditions Mayon – Bucarest),
« Le français des affaires » (I. Constantinescu – Éditions Milena – Bucarest),
« Mots pratiques, mots magiques » (N. Guilloton – Éditions Les Publications du Québec),
« Halte à la mort des langues » (C. Hagège – Éditions Odile Jacob),
« La naissance du français » (B. Cerquiglini – Éditions PUF),
« Entre signe et concept » (L. Depecker – Presses Sorbonne Nouvelle),
« Communication » (Wolijsters-M. Verjans – Éditions Uitgeverij Plantyn – Anvers),
« Le petit dictionnaire pratique des affaires » (J.M. Fèvre et M. Zajac – Éditions Wydawnictwo PLJ – Varsovie).